Henri est le fils unique d’une veuve qui a
bien besoin de lui ; il a 26 ans et une gentille fiancée. Mais voilà
qu’Henri perd son emploi au sein de l’administration de l’octroi.
Il ne sait plus trop quoi faire et rode un peu... il traine... et ce 24 juin 1890, il sort du café à grenouilles du 
quartier du marais de l’Epaix à Valenciennes... il flâne, nez baissé, le long de la chaussée lorsqu’il lui vient à l’esprit que le bruit, encore lointain qu’il perçoit, est celui du tramway en partance pour Blanc-Misseron... le bruit s’amplifie... le train se rapproche... il est là, juste derrière lui... Henri connaît bien les lieux... il est maintenant au passage à niveau de Saint-Saulve... dans quelques secondes maintenant le train sera à son côté. Alors... impulsivement sans doute, il se jette sur les rails...
quartier du marais de l’Epaix à Valenciennes... il flâne, nez baissé, le long de la chaussée lorsqu’il lui vient à l’esprit que le bruit, encore lointain qu’il perçoit, est celui du tramway en partance pour Blanc-Misseron... le bruit s’amplifie... le train se rapproche... il est là, juste derrière lui... Henri connaît bien les lieux... il est maintenant au passage à niveau de Saint-Saulve... dans quelques secondes maintenant le train sera à son côté. Alors... impulsivement sans doute, il se jette sur les rails...Son corps est coupé en deux tronçons par la terrible machine, une de ses jambes a été retrouvée à 100 mètres du reste du cadavre... pour un peu on aurait droit à d’abominables photos !
Catherine Livet
Membre du groupe FB "de la généalogie à l'écriture"
l'horreur !
RépondreSupprimerC'est exactement ce que j'ai dit lorsque j'ai lu l'article qui parlait de cet accident-suicide.
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