Ecrire son livre de famille

Bien débuter

Généalogie - Formaliser ses résultats

Pour que la généalogie prenne vie, que les souvenirs restent, que les ancêtres sortent de l'oubli, écrire un livre familial...

Partie 12

Vers la partie 11

Comme pour toute expérience, le plus dur reste le début.
Pour oser se lancer dans cette formidable aventure qu'est la rédaction d'un livre de famille, et pour mettre un certain confort dans son travail, il ne faut pas rester isolé.
Il ne faut donc pas hésiter à :

• Rejoindre des groupes de partage sur les réseaux sociaux permet d'évoquer les problèmes ou les doutes que l'on peut avoir et constater que beaucoup de personnes se posent les mêmes questions (certains ont de très bonnes réponses)
• Participer à quelques challenges ayant trait à l'écriture en généalogie permet des échanges et une confrontation amicale. (voir par exemple la partie 11 et ma participation au ChallengeAZ)
• Parler à son entourage de son projet d'écriture empêche souvent de le remettre trop souvent au lendemain car un jour ou l'autre, un de vos proches va vous demander où vous en êtes.
• Solliciter de l'aide de vos proches en fonction de leur savoir-faire pour les domaines dans lesquels vous n'êtes pas complètement à l'aise ; par exemple, la création d'un blog, la retouche de photographies etc.
• Prévoir une plage horaire où vous vous contraindrez à écrire et tenez-vous à la périodicité et à la durée que vous vous êtes fixées.
• Heureux ceux qui peuvent écrire tous les jours ! Mais dans la majorité des cas, il faut choisir un jour et une heure fixes, au moins une fois par semaine, comme vous pouvez aller à votre club de sport ou à la chorale...
  En tous les cas, il faut pouvoir réserver au moins une heure à cet exercice d'écriture car le temps de préparation est toujours plus long qu'on ne l'imagine :
• Préparer son matériel ou mettre son ordinateur en route,
• s'installer à sa table de travail,
• relire ce qui est déjà écrit afin de reprendre le fil de ses idées
  Tout ceci demande bien une demi-heure à laquelle il faut ajouter le travail de rédaction pur.
  En revanche, il faut prendre l'habitude d'avoir à portée de la main un carnet et un crayon ou, si vous préférez, un accès à une application de prises de notes (Evernote ou Keep pour n'en citer que deux) pour lister les idées, souvenirs et autres pensées qui surgissent entre deux temps d'écriture pour ne pas les oublier... et là, quelques minutes quotidiennes suffisent mais nous ne sommes absolument pas à ce moment dans un travail de rédaction qui demande plus de temps.

• S'inscrire à un atelier d'écriture spécialisé en généalogie permet réellement de progresser.

Merci pour votre lecture et n'oubliez pas de me faire part de vos remarques et de vos propres expériences d'écriture ; il est toujours bon de communiquer.

Catherine Livet

Vers la série test et expérimentation