Des mesures difficilement compréhensibles
Bonjour mon lecteur,
Vers la partie 3 |
Jusqu'à cette époque où j'ai commencé la rédaction de ces étranges Mémoires, j'étais une femme très occupée... Certains de mes rendez-vous étaient prévus un an à l'avance et parmi ceux de 2020, il y en avait un qui me tenait particulièrement à cœur... rien à voir avec mes affaires ou une obligation particulière ; un rendez-vous juste pour le plaisir de rencontrer des personnes que je ne connaissais, parfois depuis plusieurs années, que par nos échanges sur les "réseaux sociaux". Tout avait commencé pratiquement un an plus tôt, le 16 mars 2019, avec ma visite au salon parisien de la généalogie organisé par la mairie du 15e arrondissement et Archives et culture... J'avais fait alors la réflexion qu'il était dommage d'avoir croisé certaines de ces personnes sans le savoir, à dire vrai, nous avons même été au moins deux à faire cette remarque et les organisateurs avaient alors émis l'idée de nous fournir des badges à l'entrée du prochain salon pour que nous puissions nous reconnaître... J'avais donc décidé d'organiser mon emploi du temps pour pouvoir me rendre sur le salon en 2020. En début de cette année, l'association organisatrice du salon a organisé une rencontre spéciale pour nous, les généablogueurs... Oui, je le concède volontiers, le mot peut paraître étrange ; il a été composé à partir du mot généalogie, qui est la science de l'étude des compositions des familles et du mot anglais blog qui est une sorte de journal sur le web, comme le mien que vous lisez en ce moment.
En même temps que les généablogueurs se réjouissaient de se rencontrer prochainement, juste pour le plaisir pour la majorité et avec quelques arrières-pensées commerciales pour quelques autres, les médias, nombreux et de tous les genres possibles, diffusaient des informations parfois inquiétantes mais le plus souvent déroutantes.
C'est ainsi que, le 30 janvier 2020 nous apprenions que des ressortissants français qui venaient d'être rapatriés de Wuhan, en Chine, où sévissait depuis quelques mois ce nouveau virus appelé Covid-19, avaient été mis en quarantaine dans un centre d'hébergement... cloîtrés... pendant 14 jours maximum...
J'ai eu du mal à y croire... priver des gens de leur liberté fondamentale d'aller à leur guise, sans même l'ombre d'un simulacre de procès... Bon, avec une limitation dans le temps très strict puisque "l'enfermement" ne pouvait durer que 14 jours... Mais cette première pensée après une telle annonce a été balayée par celle de me dire que la situation devait être bien plus inquiétante que je ne l'avais compris jusqu'à présent et le Covid-19 devait être bien plus perfide qu'on avait bien voulu nous le dire... Ce qui a rasséréné mon esprit a été le fait que les personnes concernées par cette mesure qui me semblait absolument inimaginable dans ce pays que l'on appelait encore France, revenaient toutes de la ville de Wuhan en Chine, unanimement reconnue comme l’épicentre du problème... Jusque là donc, l'inquiétant virus gardait toujours un caractère lointain...
L'institution que l'on appelait alors l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s'est décidée à déclarer l'urgence internationale MAIS n'a pas recommandé de limiter les voyages et même semblerait-il, s'est opposée à toute restriction.
Le 06 février, des écoles ont été fermées, notamment aux Contamines-Montjoie et Saint-Gervais... Cette fois, mon esprit a été plus prompt à réagir et a commencé à se poser quelques questions. Que se passai-t-il réellement ? Pour moi, la ville des Contamines sera toujours synonyme de Megève, du Mont-Blanc en un mot, du Faucigny ! C'est chez moi, c'est chez mes fils... c'est la terre de leurs ancêtres ! Qu'était venu faire le mauvais Covid-19 ici ? Le danger commençait à sortir de
l'ombre... je me suis sentie comme épiée...
Mais là encore dans mes montagnes tant aimées, ce serait un garçonnet britannique de 9 ans qui serait touché... de plus, il n'aurait été en contact direct, pendant une seule journée, qu'avec cinq autres enfants...
Comment un petit d'homme de 9 ans, aurait-il pu n'être en contact qu'avec 5 enfants ? Et les autres jours, ceux où il n'était pas à l'école, était-il dans une bulle stérile ?
Les médias et les "officiels" ont continué à nous servir leurs boniments en nous expliquant que la situation était sous contrôle et que les plus fins limiers de France -et les lourdauds aussi sans doute- avaient été envoyés sur la piste de l’insaisissable virus...
Ah bon ! La traque du "patient 0" ! C'est possible ?
Pour commencer, les parents des autres enfants allaient être contactés et puis, tous les élèves des écoles concernées -bah oui, c'était à prévoir, il ne suffisait pas de se cantonner aux cinq enfants cités- vont être contrôlés... mais on allait d'abord apprécier la nature du risque, il fallait repérer s'ils avaient des troubles...
Le 14 février, le perfide Covid-19 faisait une victime sur le territoire français mais il nous a été précisé qu'il s'agissait d'un touriste chinois... Et puis, il ne fallait surtout pas s'inquiéter parce que les autorités avaient la situation bien en main... le "patient 0" était toujours activement recherché... Le "patient 0"... mais en fait, combien de "patient 0" fallait-il retrouver au juste ?
Le 20 février, de nouveaux camps de rétention ont été ouverts dans le Calvados... l'habitude était prise... mais là encore, il n'était question que de personnes revenant de Wuhan.
Durant la dernière semaine de février, les événements ont commencé à s'enchaîner et à devenir réellement alarmants car un homme d'une soixantaine d'années, venait de succomber, dans l'Oise où des écoles finiront par être fermées, aux attaques du pernicieux Covid-19 et la malheureuse victime ne revenait pas d'un voyage d'une zone à risques comme la Chine donc mais aussi comme la Corée du Sud, Singapour, l'Iran et... l'Italie.
Car justement, à une cordée de la France, l'Italie s'est mise à étouffer... Il eut fallu prendre conscience que le farfadet nommé Covid-19 s'était métamorphosé en diable sautant sans reprendre souffle d'un individu à l'autre causant de terribles ravages dans la population... Mais la prise de conscience s'est avérée très lente... et le 24 février, dans son point presse quotidien, le ministre de la santé, Olivier Véran, ainsi que Jérôme Salomon, directeur général de la santé, ont répété à l'envi que le virus ne circulait plus sur le territoire national... Aurait-il été bouté hors par la seule volonté de nos hauts représentants ? Covid-19, effrayé par la puissance de l'équipe d'élite qui gouvernait aurait donc décidé d'épargner la France et de se contenter de répandre sa cruauté partout ailleurs sur le monde !
Et ces messieurs d'expliquer très doctement au peuple français, ouvertement considéré comme constitué uniquement de niais pour ne pas dire d'abrutis, que les voyageurs revenant de Rome, par
exemple, où aucun cas n'avait été signalé et où par ailleurs le ministre allait se rendre le lendemain, ne devaient rien faire de particulier, seuls ceux revenant de Milan en Lombardie ou de Venise en Vénétie devaient suivre les mêmes consignes que celles qui avaient été données aux voyageurs rentrant de Wuhan et des "flyers" ont été distribués... Pourtant, l'Italie avait claquemuré un
certain nombre de villes et le carnaval de Venise avait été écourté
sans état d'âme.
Et ces braves médecins, car ils l'étaient -médecins assurément et braves à n'en pas douter- en nous regardant droit dans les yeux par caméra interposée, nous ont seriné que les seules mesures à adopter étaient de se laver les mains, de se laver les mains et de se laver les mains et que non, le port d'un masque de protection n'était non seulement pas nécessaire mais même déconseillé... Pourtant le ministre a tenu à préciser que la France possédait des stocks massifs de masques chirurgicaux et des stocks stratégiques du masque dit FFP2... nous nous rendrons très vite compte que ce n'étaient là que des mensonges... encore et toujours... les stocks avaient été constitués bien avant le problème mais le matériel avait été utilisé en fonction des besoins habituels mais jamais renouvelé dans le but de reconstituer un stock d'urgence.
La population se focalisait sur les masques. Peut-être avait-elle été orientée par les médias et nos "officiels", aussi contestés les uns que les autres par la partie du peuple qui résistait encore à la vaste opération de décervelage qui avait débutée des années plus tôt et qui refusait la décadence de la France. En tous les cas, je n'ai certainement pas été la seule à me dire que s'il y avait un problème au sujet des masques c'est qu'il pouvait très certainement y avoir également des pénuries sur du matériel médical peut-être d'une utilité plus importante encore... Surtout que franchement, tout le monde s'entendait alors sur le fait que nos soignants et notre soit-disant génial système de santé, qui allaient bientôt être honorés, voire encensés, avaient été mis bien à mal et même, il faut aujourd’hui le dire, maltraités... A cette époque, le malaise était profond et déjà très ancien ; des revendications appuyées par des manifestations diverses avaient été organisées sur le territoire dès, je crois, le mois de mars 2019... Il faut dire que le système de santé présentait des failles à tous les échelons... de l'hôpital jusqu'à la médecine de ville... Les problèmes s'accumulaient d'une manière inouïe... même les personnels des finances publiques réclamaient de mettre fin à un plan prévoyant la suppression de plusieurs milliers de postes... il y avait également les contestations contre la réforme des retraites et j'oublie certainement certains points tout aussi importants... Enfin, vous l'aurez compris, en ces temps révolus, la France souffrait...
Bien sûr, vous qui me lisez en ces temps futurs penserez sans-doute que nous n'aurions pas du laisser faire les choses mais personne ne peut réécrire l'histoire pourtant, cela a été fait et le passé a été remanié et cette manière de faire a également contribué à la décadence dans laquelle nous nous trouvions déjà à l'époque de la visite, à première vue inopinée, du redoutable petit rejeton de la maléfique famille couronnée appelée Coronavirus.
J'ai eu du mal à y croire... priver des gens de leur liberté fondamentale d'aller à leur guise, sans même l'ombre d'un simulacre de procès... Bon, avec une limitation dans le temps très strict puisque "l'enfermement" ne pouvait durer que 14 jours... Mais cette première pensée après une telle annonce a été balayée par celle de me dire que la situation devait être bien plus inquiétante que je ne l'avais compris jusqu'à présent et le Covid-19 devait être bien plus perfide qu'on avait bien voulu nous le dire... Ce qui a rasséréné mon esprit a été le fait que les personnes concernées par cette mesure qui me semblait absolument inimaginable dans ce pays que l'on appelait encore France, revenaient toutes de la ville de Wuhan en Chine, unanimement reconnue comme l’épicentre du problème... Jusque là donc, l'inquiétant virus gardait toujours un caractère lointain...
L'institution que l'on appelait alors l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s'est décidée à déclarer l'urgence internationale MAIS n'a pas recommandé de limiter les voyages et même semblerait-il, s'est opposée à toute restriction.
Le 06 février, des écoles ont été fermées, notamment aux Contamines-Montjoie et Saint-Gervais... Cette fois, mon esprit a été plus prompt à réagir et a commencé à se poser quelques questions. Que se passai-t-il réellement ? Pour moi, la ville des Contamines sera toujours synonyme de Megève, du Mont-Blanc en un mot, du Faucigny ! C'est chez moi, c'est chez mes fils... c'est la terre de leurs ancêtres ! Qu'était venu faire le mauvais Covid-19 ici ? Le danger commençait à sortir de
Extrait du commité de presse de l'ARS(1) du 12/02/2020 |
Mais là encore dans mes montagnes tant aimées, ce serait un garçonnet britannique de 9 ans qui serait touché... de plus, il n'aurait été en contact direct, pendant une seule journée, qu'avec cinq autres enfants...
Comment un petit d'homme de 9 ans, aurait-il pu n'être en contact qu'avec 5 enfants ? Et les autres jours, ceux où il n'était pas à l'école, était-il dans une bulle stérile ?
Les médias et les "officiels" ont continué à nous servir leurs boniments en nous expliquant que la situation était sous contrôle et que les plus fins limiers de France -et les lourdauds aussi sans doute- avaient été envoyés sur la piste de l’insaisissable virus...
Ah bon ! La traque du "patient 0" ! C'est possible ?
Pour commencer, les parents des autres enfants allaient être contactés et puis, tous les élèves des écoles concernées -bah oui, c'était à prévoir, il ne suffisait pas de se cantonner aux cinq enfants cités- vont être contrôlés... mais on allait d'abord apprécier la nature du risque, il fallait repérer s'ils avaient des troubles...
Le 14 février, le perfide Covid-19 faisait une victime sur le territoire français mais il nous a été précisé qu'il s'agissait d'un touriste chinois... Et puis, il ne fallait surtout pas s'inquiéter parce que les autorités avaient la situation bien en main... le "patient 0" était toujours activement recherché... Le "patient 0"... mais en fait, combien de "patient 0" fallait-il retrouver au juste ?
Le 20 février, de nouveaux camps de rétention ont été ouverts dans le Calvados... l'habitude était prise... mais là encore, il n'était question que de personnes revenant de Wuhan.
Durant la dernière semaine de février, les événements ont commencé à s'enchaîner et à devenir réellement alarmants car un homme d'une soixantaine d'années, venait de succomber, dans l'Oise où des écoles finiront par être fermées, aux attaques du pernicieux Covid-19 et la malheureuse victime ne revenait pas d'un voyage d'une zone à risques comme la Chine donc mais aussi comme la Corée du Sud, Singapour, l'Iran et... l'Italie.
Car justement, à une cordée de la France, l'Italie s'est mise à étouffer... Il eut fallu prendre conscience que le farfadet nommé Covid-19 s'était métamorphosé en diable sautant sans reprendre souffle d'un individu à l'autre causant de terribles ravages dans la population... Mais la prise de conscience s'est avérée très lente... et le 24 février, dans son point presse quotidien, le ministre de la santé, Olivier Véran, ainsi que Jérôme Salomon, directeur général de la santé, ont répété à l'envi que le virus ne circulait plus sur le territoire national... Aurait-il été bouté hors par la seule volonté de nos hauts représentants ? Covid-19, effrayé par la puissance de l'équipe d'élite qui gouvernait aurait donc décidé d'épargner la France et de se contenter de répandre sa cruauté partout ailleurs sur le monde !
Et ces messieurs d'expliquer très doctement au peuple français, ouvertement considéré comme constitué uniquement de niais pour ne pas dire d'abrutis, que les voyageurs revenant de Rome, par
exemple, où aucun cas n'avait été signalé et où par ailleurs le ministre allait se rendre le lendemain, ne devaient rien faire de particulier, seuls ceux revenant de Milan en Lombardie ou de Venise en Vénétie devaient suivre les mêmes consignes que celles qui avaient été données aux voyageurs rentrant de Wuhan et des "flyers" ont été distribués... Pourtant, l'Italie avait claquemuré un
certain nombre de villes et le carnaval de Venise avait été écourté
Ministère chargé de la santé - Etat au 15 juillet 2009 - Extraits |
Et ces braves médecins, car ils l'étaient -médecins assurément et braves à n'en pas douter- en nous regardant droit dans les yeux par caméra interposée, nous ont seriné que les seules mesures à adopter étaient de se laver les mains, de se laver les mains et de se laver les mains et que non, le port d'un masque de protection n'était non seulement pas nécessaire mais même déconseillé... Pourtant le ministre a tenu à préciser que la France possédait des stocks massifs de masques chirurgicaux et des stocks stratégiques du masque dit FFP2... nous nous rendrons très vite compte que ce n'étaient là que des mensonges... encore et toujours... les stocks avaient été constitués bien avant le problème mais le matériel avait été utilisé en fonction des besoins habituels mais jamais renouvelé dans le but de reconstituer un stock d'urgence.
La population se focalisait sur les masques. Peut-être avait-elle été orientée par les médias et nos "officiels", aussi contestés les uns que les autres par la partie du peuple qui résistait encore à la vaste opération de décervelage qui avait débutée des années plus tôt et qui refusait la décadence de la France. En tous les cas, je n'ai certainement pas été la seule à me dire que s'il y avait un problème au sujet des masques c'est qu'il pouvait très certainement y avoir également des pénuries sur du matériel médical peut-être d'une utilité plus importante encore... Surtout que franchement, tout le monde s'entendait alors sur le fait que nos soignants et notre soit-disant génial système de santé, qui allaient bientôt être honorés, voire encensés, avaient été mis bien à mal et même, il faut aujourd’hui le dire, maltraités... A cette époque, le malaise était profond et déjà très ancien ; des revendications appuyées par des manifestations diverses avaient été organisées sur le territoire dès, je crois, le mois de mars 2019... Il faut dire que le système de santé présentait des failles à tous les échelons... de l'hôpital jusqu'à la médecine de ville... Les problèmes s'accumulaient d'une manière inouïe... même les personnels des finances publiques réclamaient de mettre fin à un plan prévoyant la suppression de plusieurs milliers de postes... il y avait également les contestations contre la réforme des retraites et j'oublie certainement certains points tout aussi importants... Enfin, vous l'aurez compris, en ces temps révolus, la France souffrait...
Bien sûr, vous qui me lisez en ces temps futurs penserez sans-doute que nous n'aurions pas du laisser faire les choses mais personne ne peut réécrire l'histoire pourtant, cela a été fait et le passé a été remanié et cette manière de faire a également contribué à la décadence dans laquelle nous nous trouvions déjà à l'époque de la visite, à première vue inopinée, du redoutable petit rejeton de la maléfique famille couronnée appelée Coronavirus.
Le virus, insidieux, contrairement à ce que nous avaient déclaré ces messieurs du gouvernement, n'avait pas quitté le territoire et, tapi dans l'ombre, surgissait là où on ne l'attendait pas...
Dès le lendemain, deux nouveaux cas étaient ainsi confirmés dans l'Hexagone mais la libre circulation des Européens était maintenue ainsi que les grandes manifestations, aucune inquiétude n'était à avoir le cas n° 13 -mais oui, ils étaient soigneusement numérotés- était une jeune chinoise qui était guérie et le n° 14 était un Français qui rentrait de Lombardie... en plus du mot "cluster" apparu pour désigner des foyers épidémiques a commencé à résonner l'expression "contact tracing"... Qui alors a fait attention à ces mots ?
Certains ont commencé à réclamer les fermetures des frontières et à demander s'il ne serait pas judicieux de porter un masque pour prendre les transports en commun... Mais non, le ministre de la santé a été formel, le 26 février, il n'y avait que 18 cas en France, le masque était inutile où que ce soit, le virus ne connaissait pas les frontières qui resteraient ouvertes et le gouvernement suivait sa stratégie... Mais un déstockage de quinze millions de masques sur l'ensemble du territoire pour les médecins de ville et les personnes à risques était en cours d'exécution...
Les cas ont ensuite augmenté jour après jour et le professeur Salomon a pris l'habitude de venir égrainer le nombre de morts à travers le monde...
Les mesures se sont suivies, parfois contradictoires et le plus souvent incompréhensibles pour l'ensemble de la population comme l'interdiction de certaines manifestations, semi-marathon de Paris en tête ou la fermeture du salon de l'agriculture une journée avant la date prévue mais les matches de la Ligue des champions ont été maintenus et donc la rencontre entre l'Olympique Lyonnais et la Juventus de Turin, malgré la polémique qui s'est installée, a été jouée. Le ministre de la santé a encore déclaré : "Il n'y a pas de malades identifiés à Turin (en Italie). Il n'y a pas lieu d'empêcher les Italiens de se rendre à un match de football"
Bien entendu, le 6e salon parisien de la généalogie a été maintenu ; malgré le très vif succès qu'il a toujours remporté depuis sa première édition, il n'a jamais concentré les milliers de visiteurs qui l'on fréquenté en même temps, dans le même lieu ; cependant, quelques exposants ont déclaré forfait et des conférenciers ont été remplacés au pied levé.
Je m'étais posé la question pour savoir si je devais m'y rendre ou non ; beaucoup d'entre-nous, se sont sans doute posé la même question mai peu finalement, ont manqué le rendez-vous et nous avons tous été ravis de notre rencontre.
Comme nous, des millions de Français ont continué à vivre sans apporter de modifications à leurs habitudes...
Vous qui me lisez dans votre présent qui n'est pour moi, lorsque j'écris, qu'un futur incertain, pensez sans aucun doute que nous étions bien naïfs et passifs à l'époque où se sont déroulés ces faits sans précédent dans l'histoire du monde mais contrairement à nous, vous avez du recul sur les événements que nous avons vécus et, contrairement à nous à l'époque, vous connaissez la suite. Vous ne pourrez que, comme je l'ai fait à posteriori en mettant à profit le temps qui m'a été offert par le confinement, constater que la situation ne s'était installée que lentement, sournoisement... il y a eu comme un repli de l'humanité qui s'est opéré à une date indéterminée alors que des élus qui semblaient des pantins aux mains de prodigieux marionnettistes invisibles, se sont relayés pour envoyer, à marche forcée, les peuples dans l’abîme de la mondialisation qui était devenue le dieu universel à suivre éperdument.
A très bientôt,
Catherine Livet
Et ce n'est pas fini !
RépondreSupprimerJe veux bien vous croire !
SupprimerJe découvre cet article aujourd'hui (4 juin 2021), et donc, j'y réponds avec retard ! Alors oui, nos libertés ont été mises à mal. Oui, le manque de la famille, des enfants, des petits-enfants est cruel, ne plus voir les amis, annuler les rendez-vous les uns après les autres. Oui, les indications et contre-indications sont lassantes. Ces jours-ci, j'entends souvent "je veux vivre normalement". Je pense que toutes ces contraintes sont là pour nous permettre de vivre, pas tout-à-fait normalement, mais vivre... Et je pense à ceux qui, dans ma famille ne peuvent plus critiquer ces contraintes, parce que le covid les a terrassés.
RépondreSupprimerMarie
Merci Marie-France pour votre commentaire. Prenez soin de vous et de vos proches. A très bientôt j'espère.
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