Pêle-mêle d'étrangetés et autres casse-tête - Challenge AZ 2020
Mais quelle va donc être le nouveau casse-tête inventé par cette fabuleuse branche de ma généalogie ?
En attendant de le découvrir, je vous présente Natalie Rahïr dont maintenant il faut écrire le patronyme Rahyr. Même si je n'ai pas encore parlé d'elle, elle est tout de même très proche des héroïnes de certains de mes précédents textes. Elle est la fille de Jean-Joseph et de sa seconde épouse Séraphine Victoire Botteher. Elle est donc la fille du cousin d'Angélique Rahïr :
Natalie est née le 20 janvier 1850 au domicile de ses parents à Avesnes (sur Helpe) dans le Nord.
Elle va donner naissance à quatre enfants naturels :
- Clémence Eugénie Constance née le 20 mars 1874
- Edmond né le 05 juillet 1877,
- Fernand né le 11 février 1881,
- Lucie née le 22 novembre 1883 chez son grand-père et décédée le 20 juillet 1885 chez sa mère.
Le 16 mai 1888, toujours à Avesnes, Natalie épouse Arthur Mascret, veuf depuis le 09 mars 1888 de Marie Agnès Fournoy qu'il avait épousé le 16 mars 1885.
Lors de ce mariage, Arthur Mascret va reconnaître comme les siens les trois premiers enfants encore vivants de Natalie.
Mais je doute très sérieusement que ces enfants soient nés de ses œuvres. Regardons de plus près.
Arthur Mascret est né le 30 avril 1858, il aurait donc eu à peine 16 ans à la naissance de Clémence Eugénie Constance, l'aînée des enfants de Natalie... Puis, il aurait eu encore trois enfants avec Natalie, mais il aurait préféré épouser, en 1885, Marie Agnès Fournoy qui est pourtant libre depuis 1877...
Ce n'est qu'une fois veuf qu'il se serait dit : "Ah ! Si j'épousais la mère de mes enfants, je pourrais enfin les reconnaître !"
Je ne trouve pas cela très crédible.
À demain pour la lettre Q pour Question sans réponse.
Catherine livet
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J'ai en tête au moins 3 cas similaires dans ma généalogie!
RépondreSupprimerMoi non plus, il a peut-être simplement eu pitié de ces enfants.
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