Pour que la généalogie prenne vie, que les souvenirs restent, que les ancêtres sortent de l'oubli, écrire un livre familial...
Partie 5
Nous allons maintenant aborder l'élaboration de la biographie d'un personnage qui sort de l'ordinaire.
Vers la Partie 1 |
Vers la Partie 2 |
Vers la Partie 3 |
Vers la partie 4 |
Je vais donc vous présenter Albert Maillier dont j'ai retracé la vie de ce très jeune soldat Mort pour la France dans le cadre d'un projet de la ville de Limay dans les Yvelines qui avait pour
sujet "Les soldats enterrés dans le carré militaire du cimetière communal de Limay".
sujet "Les soldats enterrés dans le carré militaire du cimetière communal de Limay".
Et comme il s'agit d'un soldat, j'ai récupéré :
- Sa fiche "Mort pour la France",
- Sa fiche matricule,
- La fiche tenue par la Croix Rouge à son nom,
- Le journal de marches et opérations concernant son régiment.
- Actes d'état civil le concernant,
- Recherche d'une éventuelle fratrie.
J'ai donc récupéré, pour chacun d'entre eux :
- les actes d'état civil,
- les mêmes documents militaires que pour Albert Julien Maillier.
Le nombre de personnages s'accroissant, il y a le risque de les mélanger un peu j'ai donc :
- Dressé un schéma généalogique,
- Créé une fiche chronologique récapitulant tous les évènements concernant tous les membres de la famille,
- Elaboré un plan d'écriture.
Suite |
Et voilà le texte tel qu'il a été publié :
Carré militaire - Cimetière de Limay - Yvelines - Albert Julien Maillier
Même pas 19 ans, Mort pour la France !
Nous sommes le premier août 1914, en plein après-midi, à Montigny-le-Bretonneux alors en Seine-et-Oise mais aujourd’hui dans le département des Yvelines, comme dans tous les villages de France, le tocsin ameute la foule… les habitants abandonnent immédiatement leurs occupations, ils se pressent, convergent vers laplace… les langues vont bon train… C’est la mobilisation générale ! Parmi les premiers arrivés sur les lieux, François Léopold Maillier qui n’est ignymontain que depuis peu mais qui est installé dans la région depuis déjà plusieurs années. Il faut dire que François Maillier est un peu inquiet… Oh, pas pour lui ! Né à Bû en Eure-et-Loir il y a déjà 52 ans, il ne risque pas d’être rappelé, trop vieux… Pour l’aîné de ses fils qui est né le 27 juin 1885 au Mesnil-Simon, toujours en Eure-et-Loir, il n’y a pas de souci à se faire, l’armée n’avait déjà pas voulu de lui pour le service alors… pour la guerre…
C’est un bon gars le François Jules Léopold, bon
travailleur aussi, il trouve de l’embauche aisément comme journalier agricole
chez les voisins mais parfois, il a des crises bizarres… enfin, comme dit par
les messieurs de la commission spéciale de Paris lorsqu’il accomplissait son
service militaire, son épilepsie n’est pas compatible avec le maniement des
armes… alors depuis le temps, pour sûr, son état de santé ne s’est pas
amélioré. Mais François Maillier ne peut s’empêcher de penser à son fils Jules
Adrien Joseph, jeune homme d’un mètre soixante-trois au teint coloré, dont le bleu des yeux est aussi foncé que le
châtain des cheveux, né le 12 novembre 1893 à deux pas d’ici, au
Mesnil-Saint-Denis… il est absent en ce moment… et pour cause, il est en train
d’accomplir son service, il est incorporé au 129e Régiment
d’Infanterie (R.I.) depuis le 26 novembre 1913… il va connaître la guerre de
près le p’tit ! Bon allez, tout va bien se passer… nos gars vont leur
mettre une bonne raclée aux Allemands, ils seront vite rentrés à la maison…
Quand à ses deux autres fils, il faut qu’Alice -c’est sa femme, Françoise Alice
Aglaé Lemoine- se sorte ces tracas de la tête, Gaston Henri et Albert Julien
sont trop jeunes, la guerre sera largement finie lorsqu’ils auront l’âge
d’aller à l’armée… c’est sûr, elle ne va pas durer une année cette foutue
guerre !
Jules Adrien Joseph Maillier est devenu le
matricule 5 472, soldat de la 12e Compagnie, il se trouve avec ses camarades du
129e R.I. dans la Marne… les combats font rage depuis plusieurs
jours, le 129e est
particulièrement éprouvé… Dans la nuit du 17 au 18 septembre 1914, vers 2
heures du matin, le 39e Régiment débouche de Courcy pour relever les
hommes du 129e qui sont épuisés lorsqu’une terrible attaque se
produit sur la route de Brimont, par le chemin de fer et la rive nord du canal
venant des bois Soulains… l’attaque sur les ponts et la verrerie de Courcy est
très violente ; trois compagnies arrivent à stopper l’attaque de l’ennemi du côté
du chemin de fer mais les Français perdent les ponts... les valeureux soldats du
129e et des hommes du 39e se rassemblent, se frayent un
passage à la baïonnette mais doivent éviter Courcy tombé aux mains des
Allemands… le régiment, tant bien que mal, se reconstitue et se porte à
l’attaque du village du côté du moulin pendant que le 39e
attaque la lisière ouest mais la progression
ne peut pas se poursuivre au-delà du moulin… la retraite du 39e
entraîne celle du 129e qui ne se produit cependant qu’à la demande
formelle du commandant de la 10e brigade…
Verrerie de Courcy avant la guerre |
Vue aérienne de la verrerie
de Courcy - 1917
|
En fait c’est la débâcle…
le 129e est réduit à 2 bataillons et est dirigé vers Saint-Thierry
puis vers Merfy où il s’établit au cantonnement.
Les pertes sont terribles :
25 hommes de troupe sont tués, 75 sont blessés ainsi qu’un capitaine et… 1 000
hommes sont portés disparus ainsi que de nombreux officiers et sous-officiers…
Jules Adrien Joseph Maillier est l’un de ces malheureux soldats qui, blessés, avaient été pris en charge par l’ambulance de Courcy qui a été faite
prisonnière…
Une baraque de prisonniers au camps de Chemnitz
« propagande allemande »
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Jules est interné au camps de prisonniers de Chemnitz en Saxe,
région d’Allemagne, vaste complexe accueillant de très nombreux prisonniers.
C’est la Croix Rouge qui va s’occuper de prévenir François Maillier de
l’endroit où se trouve son fils ; il est probable que les hommes échangent
quelques lettres car Jules ne sera rapatrié que le 23 janvier 1919, il
bénéficiera alors d’une permission de 60 jours… mais pour l’instant, personne
ne connaît cette date.
Comme son père, François Jules
Léopold pensait qu’il ne serait pas rappelé puisqu’il avait été réformé le 04
mai 1907, lors de son service pour épilepsie… c’est fâcheux cette maladie mais
bon, c’est comme ça… mais tout compte fait, il doit rejoindre le 102e
R.I. où il arrive le 24 mai 1915 mais le voici rapidement devant la commission
spéciale de Chartres qui le réforme, le 28 août suivant, pour épilepsie
avérée, il est d’ailleurs rayé des
contrôles dès le 30 du même mois et rejoint sa famille à Montigny ; sa
campagne contre l’Allemagne se résume à la période du 24 mai au 30 août 1915.
Voilà, les Maillier pensent sans
doute encore qu’ils en ont terminé -ou presque- avec la guerre… qui va bientôt
finir… Jules sera libéré et pourra les rejoindre… Mais rien n’est terminé, le
conflit n’a pas trouvé l’issue rapide qu’on lui prédisait… les armes sont
devenues effrayantes, la puissance du feu est indescriptible et les hommes sont
maintenant obligés de se terrer pour défendre le pays… La guerre des tranchées…
Ici à Montigny, comme certainement dans bien d’autres coins de France, on a du
mal à imaginer tous ces hommes vivant sous terre, rampant dans la boue… Rien, décidément,
ne se déroule comme prévu… Le temps passe, tant et si bien, qu’il faut
reconnaître qu’Alice Lemoine avait raison de craindre pour ses plus jeunes fils
car voici que Gaston Henri va avoir 20 ans… l’anniversaire ne sera pas fêté…
depuis des semaines maintenant, sa pauvre mère le regarde intensément pour
garder dans sa mémoire le bleu sombre de ses yeux, la brillance de ses cheveux
châtains, elle veut se souvenir de son nez rectiligne et de la minceur de ses
lèvres… Né le 29 décembre 1896 à Magny-les-Hameaux, il est incorporé le premier
septembre 1916 au 87e R.I. ; avant la guerre, la date théorique
d’incorporation de sa classe aurait été fixée en octobre 1916 mais maintenant,
tout a changé et certains de cette classe de 1916, nés plus tôt dans l’année,
ont été incorporés dès le mois d’avril 1915… Gaston n’est plus le cher fils de
parents bienveillants, il est désormais le matricule 13 321 et est envoyé le 12
mai 1917 en renfort au 287e R.I.
Nous voici maintenant le 26 août 1917, nous sommes
dans la Meuse, très exactement à Beaumont-en-Verdunois, il est 2 heures du
matin… le dispositif d’attaque est réalisé et tout le monde, chaque homme, est
à son poste… attendant l’heure H qui est fixée à 4 h 45 alors, à
Extrait du journal de
marches et d’opérations du 287e – Mémoire des Hommes
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l’instant même où l’heure est
atteinte, dans un mouvement formidable, le 287e R.I. se porte à
l’assaut… et est stoppé net, à 150 mètres des tranchées de départ, par un
impressionnant réseau de fils de fer et le feu ininterrompu des mitrailleuses
ennemies… Il en va de même pour les hommes du 8e B.C.P (Bataillon de
Chasseurs à Pied), voisin de droite du régiment mais, au contraire, le 155e
R.I., voisin de gauche du 287e ne peut atteindre de suite ses
objectifs… Les 5e et 6e bataillons doivent faire tomber,
en les manœuvrant et en les attaquant à la grenade et au V.B. tous les îlots
de résistance ennemis… « Le camp de Beaumont et le ravin de la Sortelle
sont ainsi enlevés après de durs combats… La liaison à droite est toujours
parfaitement assurée mais à gauche, la liaison avec le 155e n’est
plus établie… Une violente contre attaque allemande a enlevé Beaumont aux
Français… » Le rédacteur de ces phrases sur le Journal d’Opérations et
de Marche du 287e s’est sans doute laissé un peu emporter par son
élan et son amour pour le régiment… la « reprise » de Beaumont n’est
que très partielle et particulièrement éphémère…
Après l’impressionnante liste des
tués et blessés de cette meurtrière journée du 26 août 1917, les
« disparus » du 287e, sont soigneusement notés… et parmi
eux, ceux de la 18e Compagnie sont particulièrement nombreux, Gaston
Maillier, matricule 13 321, y figure entouré de ses camarades d’infortune dont
beaucoup sont, comme lui des classes de 1916 et 1917… Les jours qui vont suivre
vont encore couter de nombreuses vie…
Il faudra attendre la fin de l’année 1918 pour que Beaumont soir repris…
complètement détruit, il est l’un des 9 villages à porter le titre de
« Village Mort pour la France »…
Il va se passer quelques années
interminables pendant lesquelles les parents de ce pauvre Gaston vont espérer
le voir franchir le seuil de leur porte, s’asseoir à leur table pour partager
le repas familial… jusqu’au 14 mai 1922 où le maire vient les trouver… il vient
de recevoir la copie d’un terrible jugement à transcrire dans les registres de
l’état civil de Montigny-le-Bretonneux… le Tribunal de Versailles, le 06 avril
dernier, a rendu sa sentence… le soldat Gaston Henri Maillier, matricule 13 321
du 287e Régiment d’Infanterie est déclaré mort et la date de son
décès est fixée à celle de sa disparition qui avait été constatée le 26 août
1917, il a bien entendu droit à la mention Mort pour la France !
Heureusement, certains événements
heureux ont quand même lieu, il y a le retour de Jules au début de l’année
1919… Ah, comme ils ont eu du mal à retenir leurs larmes les vieux ! Pour
un peu il ne l’aurait pas reconnu le Jules… il a bien changé… Faut dire que
quand il est parti, il était gamin encore, même pas adulte légalement… c’est un
homme qui rentre… les larmes sont interdites et les mots sont de trop… alors,
on s’attable devant un verre de goutte, l’eau-de-vie maison qu’on ne sort que
pour les grandes occasions ; le dos arrondi, on fixe le verre que l’on
fait tourner entre les doigts, histoire de s’occuper… la mère Alice, après
avoir posé gobelets et bouteille pour ses hommes s’est retirée… on l’entend
étouffer ses reniflements dans son tablier… elle en a du mal la mère à
contenir ses pleurs… elle en a de la joie qui déborde en regardant à la dérobée
son Jules attablé, silencieux, avec le père… comme elle aimerait être dix ans
en arrière… poursuivant le Jules ricanant avec un martinet pour lui faire
passer l’envie de tirer les nattes de la fille de la voisine ou le talochant
fermement parce que son patron vient de se plaindre qu’il avait cinq minutes de
retard… comme elle aimerait que sa marmaille la fasse tourner en bourrique
comme elle savait si bien le faire… Et puis elle entend le père -il fallait
qu’il aborde le sujet- dire : « Bon, fils, faut que j’te dise… ton
frère, l’Albert… l’est rev’nu malade, l’ont mis à l’hôpital de Limay, y’est
resté à Limay… »
C’est à Guyancourt où la famille a habité quelques
années que le petit Albert Julien est venu au monde… François Maillier se
souvient très bien de cette époque, il avait installé sa famille au centre du
village, toutes les commodités étaient à deux pas, y compris son travail, il
était charretier agricole chez Monsieur Favry, il
exerçait alors le métier qu’il avait appris tout jeune las-bas en Eure-et-Loir,
et l’aîné des garçons, François Jules Léopold, apprenait celui de maçon chez
Monsieur Folain. C’est là, dans cette maison qu’ils occupaient alors, que
l’enfant est né, le 29 août 1899 à 9 heures du matin, c’est lui, le père, qui
est allé trouver le maire, Edouard Nicolas Pasquier pour qu’il dresse l’acte de
naissance et c’est lui qui a dit qu’il fallait le prénommer Albert Julien. Il a
grandit gentiment le p’tit, pas plus dur qu’un autre… pas moins non plus… mais
il a bien appris à l’école, en plus de savoir parfaitement lire et écrire, il
savait vraiment compter, comme Gaston d’ailleurs… Et puis il se souvient très
bien le père… Albert s’est mis à pousser comme une asperge… 1,68
m ! Bon d’accord, ce n’est pas une taille de géant mais c’était lui le
plus grand de la famille… Sans avoir gardé la blondeur de l’aîné, ses cheveux
ne sont pas devenus foncés comme ceux des deux autres, il avait les cheveux
d’un beau châtain brillant, plein de reflets chatoyants… par contre,
contrairement aux autres, ses yeux étaient plus gris que bleus et il y avait
dans sa physionomie quelque chose de l’enfance… c’est sans doute son visage
plein qui donnait cette impression de jeunesse éternelle… et comme tous les
Maillier, son nez était rectiligne et ses lèvres minces… il avait le teint bien
coloré… jamais François Maillier n’a imaginé qu’il pourrait tomber malade ce
fils… surtout que, il ne l’a jamais dit et il ne le dira jamais, Albert a
peut-être été son fils préféré… en tous les cas, il lui a donné une grande
joie… il a voulu devenir charretier… et c’est lui, François Maillier, son père,
qui lui a appris le métier… Il était bien apprécié des agriculteurs qui lui
donnaient régulièrement de l’embauche, il aurait pu devenir patron… Bien gagner
sa vie… Avoir une gentille famille… Mais le destin en a décidé autrement. Elle
avait raison Alice Lemoine de craindre, dès août 1914, pour l’ensemble de sa
progéniture… surtout que, à cause de cette fichue guerre, les règles ont
changées… si on n’avait pas encore bien compris pour Gaston qui n’avait été
appelé que quelques mois avant ses 20 ans, c’était flagrant pour Albert… né en
1899, il était de la classe de 1919 ; avant la guerre, il aurait été
appelé sous les drapeaux en octobre
1919 mais ce n’est plus comme ça… cette classe a été
appelée à partir du 15 avril
1918… c’est ainsi qu’il est parti à 18 ans… il est arrivé au 164e
R.I. le 20 avril 1918… on s’est pressé pour lui apprendre le métier de soldat
et il a été passé dès le 15 juillet suivant au 129e R.I., comme son
frère mais il n’y avait aucune chance qu’ils puissent se retrouver parce que
Jules, prisonnier, a été envoyé en Allemagne depuis le début de la guerre en
fait… au moins on a su ce qu’il était devenu, on a eu de ses nouvelles de temps
en temps, on lui a envoyé des cartes et des paquets… ce n’est pas comme pour le
Gaston… plus de nouvelles depuis… De là à espérer qu’Albert soit aussi
rapidement fait prisonnier… Bon allez, faut pas penser comme ça d’ailleurs
Albert n’est sans doute pas au front, il n’a pas fini de faire ses classes…
Bientôt, on va savoir : il n’a pas posé le pied sur une mine… un obus n’a
pas éclaté à vingt centimètres de lui ni même à plusieurs centaines de mètres …
il n’a pas ramassé une balle en pleine tête… il n’a pas été enseveli dans une
tranchée éboulée… il ne s’est pas ouvert les chairs sur des barbelés meurtriers…
il n’a même pas respiré de gaz moutarde ou ses dérivés… Pourtant, au cœur de
l’été 1918, le soldat de 2e classe, matricule 21 693 au 129e
Régiment d’Infanterie a été admis à l’hôpital auxiliaire n° 176, à Limay, où il
est décédé le 16 août… il n’atteindra jamais ses 19 ans ! Mort pour la
France… d’une pneumonie… double !
Jules Adrien Joseph Maillier, le
fils revenu de l’enfer, va se marier le 30 janvier 1920 à
Granville-Sainte-Honorine (Le Havre) dans le département alors appelé Seine
inférieure, aujourd’hui Seine Maritime… il épouse une toute jeune veuve, Blanche
Germaine Louise Frémont… son premier mari, Alphonse Georges Lenormand, maître
ouvrier à la compagnie divisionnaire du 3e Régiment du Génie, est
Mort pour la France,
le 30 novembre 1917 à La Hutte au bois de Beaumarais, au
sud de Craonne dans l’Aisne… il avait 22 ans et 8 mois !
Albert Julien Maillier repose
dans le carré militaire du cimetière de Limay ; son nom est gravé pour
l’éternité, au dessus de celui de son frère Gaston, sur la plaque commémorative
de l’église Saint-Martin de Montigny-le-Bretonneux ; les deux frères sont
également réunis sur le monument aux morts de cette même ville.
Catherine Livet
Sources,
bibliographie : Archives départementales des Yvelines, Archives départementales
d’Eure-et-Loir, Archives départementales de Seine Maritime, Site
"Mémoire des Hommes", Mantes et son arrondissement - V. Bourselet et
H. Clérisse, L'histoire de l'Ile-de-France - Denis Lagarde, A nos poilus -
Catherine Livet, Mes aïeux dans les Yvelines - Catherine Livet, Centre International de la Croix Rouge -
site de la Grande Guerre
C'est déjà bien mais n'est-il pas possible de faire beaucoup mieux ?
C'est déjà bien mais n'est-il pas possible de faire beaucoup mieux ?
Partout en France, même dans la moindre ville les héros furent légions !
RépondreSupprimerOui, nous sommes absolument du même avis. Merci beaucoup pour votre lecture et votre commentaire. A bientôt j'espère
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