La vie de nos ancêtres dans la littérature
Le rideau tombe sur le dernier acte de la "Comédie humaine" ; fini les "Splendeurs et misères des courtisanes", terminé l'ivresse de l'odeur entêtante du "Lys dans la vallée"... Le "Père Goriot" vient de perdre son dernier ami, même la "Cousine Bette" a une larme à l’œil et "Eugénie Grandet" s'est transformée en fontaine... Nous ne dînerons plus à "L'auberge rouge" ; drapés dans "La peau de chagrin", nous pleurons...
Le boulimique de la littérature, le forçat de la plume, nous a salué ce 18 août 1850 à Paris...
Nous l'avons accompagné, nombreux, pour l'aider à s'installer dans sa dernière demeure dans le quartier du Père Lachaise ; nous avons bu les paroles de l'oraison funèbre prononcée par le grand orateur Victor Hugo "... Il va briller désormais au-dessus de toutes ces nuées qui sont sur nos têtes, parmi les étoiles de la patrie !...", nous avons écouté avec attention l'éloge fait par Louis Desnoyers, le président de la "Société des gens de lettres" dont d'ailleurs le défunt avait été le second président "...Mais si de pareils morts ont pu se passer de nos vains hommages, nous ne saurions nous passer, nous, survivants, de les leur avoir rendus..."
"... Le nom de Balzac se mêlera à la trace lumineuse que notre époque laissera à l'avenir..."
Victor Hugo
Merci Monsieur Honoré de Balzac de nous avoir laissé votre monumentale
œuvre, étude d'une époque pour nous inconnue, mais dont la lecture nous
permet de mieux saisir les vies de nos ancêtres que vous avez si bien
racontées.
À bientôt,
Catherine Livet
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"de la généalogie à l'écriture"
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En effet l'histoire se rappelle de ses grands écrivains, puisse-t-elle se rappeler de ses grands blogueurs !
RépondreSupprimerOh là là ! C'est trop gentil !
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