mardi 8 mars 2022

Lorsque stupidité et inculture transforment une pauvre fille en une terrible criminelle.

 

Au cœur de Paris, dans la nuit du 18 octobre 1895, un homme crie “Au secours !” avant de s’effondrer sur le trottoir... un petit bout de femme qui se trouvait à ses côtés s’enfuit à toutes jambes...

L’homme est conduit à l’hôpital Broussais où il décède. La femme arrête brusquement sa course folle, terrassée par une crise de nerfs et les agents de police qui commençaient à s’essouffler un peu n’ont plus qu’à la cueillir... Émotion et alcool embrouillent un peu plus que d’habitude le peu de raison dont est dotée cette pauvre femme qui avoue avoir frappé le nommé Joseph Legrand à l’aide d’un couteau parce que ce dernier l’aurait menacée d’un revolver... L’ivresse se dissipant quelque peu, elle revient sur ses déclarations et refuse même de dire son nom... L’enquête est prestement diligentée et démontre, effectivement, qu’elle n’a pas frappé la malheureuse victime mais, cependant, qu’elle a joué un rôle actif, voire prépondérant dans ce crime crapuleux.

Le 15 avril 1896, la Cour d’Assises de la Seine la condamne aux travaux forcés à perpétuité pour... complicité d’homicide volontaire avec préméditation... En entendant le verdict, la coupable est de nouveau secouée d’une terrible attaque de nerfs... les Gardes de Paris sont obligés de la porter pour la conduire hors de la salle d’audience...

Elle est bien fragile nerveusement l’inconséquente jeune Henriette Noyon, femme Muyllaërt !

Pour lire l'histoire complète de la malheureuse Henriette Noyon


Catherine Livet 

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