Ah ! Misère ! Sans être dans une nébuleuse, puisque je fais connaissance avec Anna Thérèse Verbeke et son époux, Jacques Lodrigo, le 06 juillet 1827, parce que je me suis invitée au mariage de mes ancêtres, je suis un peu dans la panade.
Tout se passe à Wilskerke... le début de mes difficultés... car nous voici en Belgique, dans la région flamande et Wilskerke est une section de la commune de Middelkerke. Oui, c'est la situation actuelle où des communes ont fusionné pour, sans doute, réaliser des économies d'échelle, dans l'une des régions créées à une époque récente. Quelles pouvaient être les spécificités de Wilskerke au 19ᵉ siècle ?
L'histoire de la Belgique est très mouvementée et je suis loin de l'appréhender... surtout qu'à l'époque du mariage d'Anne Marie Lodrigo avec Jean Baptiste François Muyllaërt, des troubles devaient bien être, au moins, sous-jacents... car je suppose que la révolution bruxelloise, en 1830, a éclaté après une accumulation de problèmes et, même si Wilskerke est à environ 130 km de la capitale, il y a bien dû y avoir des remous au village.
Une autre difficulté réside, pour moi, dans le fait qu'il m'est impossible de comprendre le classement des archives de l'état en Belgique... Mon cerveau, parfois obtus, refuse de se familiariser avec le site...
J'ai finalement retrouvé la trace du mariage d'Anne Thérèse et, enfin, j'en sais un peu plus à son sujet. Elle est la fille de Joseph Verbeke, qui serait marguillier à Wilskerke, et de Regina Denecker. Elle est née vers 1779 à Wilskerke, lieu où elle demeure en 1805 où, le 23 janvier, elle épouse Jacques Emiel Lodrigo, natif de Bredene qui a aussi 26 ans ; il est tailleur d'habits et est veuf, depuis le 30 mai 1804, d'Anna T Jonck.
Il faut croire que Jacques Emeil ne porte pas chance à ses épouses, car Anna Therese décède le 05 mai 1812... Le veuf ne perd pas de temps et, le 15 octobre de la même année, épouse Maria Theresa Arens, née le 16 mars 1772 à Leffinge, veuve depuis le 29 avril 1811.
Bon ce n'est pas si mal... il ne me reste plus qu'à trouver les originaux des actes car, pour l'instant, je dois me contenter des relevés — qui sont une ressource inestimable — sur lesquels peuvent figurer quelques erreurs de copie...
Catherine Livet
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Avec l'arrivée en Belgique, les lettres suivantes (W, X, Y et Z) vont être plus faciles (ou pas).
RépondreSupprimerJ'ai aussi une branche en Moselle et une autre dans le Haut-Rhin... c'est bien aussi...
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