samedi 21 juin 2025

Joseph Antoine Karrer est présent au RDVAncestral



Comme chaque troisième samedi du mois, mon esprit part à la rencontre de celui de l’un de mes ancêtres pour tenter d’en savoir un peu plus sur sa vie et celle de ses proches.

Oh ! Là ! Là ! Me voici dans le département du Haut-Rhin et j’ai peur de me perdre dans son histoire qui m’est toujours apparue compliquée. Je suis plus précisément à Colmar, le chef-lieu du département.

Il fait froid en ce 02 février 1814 où je me tiens devant la mairie… mais, que fais-je ici ? Ha ! Voici Joseph Antoine Karrer, mon ancêtre presque inconnu, un bout de branche de mon arbre généalogique. Vous êtes tailleur d’habits et vous demeurez rue des Serruriers, mais vous n’habitez la ville que depuis 1809.  D’où venez-vous ? De votre village natal ? Il faut dire que Haussen an des Möhlin est situé à moins de 40 km de Colmar. 
Vous êtes né à Haussen le 16 juin 1789, votre père, Ruppert, y était laboureur. Vous êtes né dans une période, rare, où la paix régnait entre la France et les Habsbourg, mais vous êtes aussi né lors de la Révolution française… qui va tenter de s’exporter… et le Brisgau, cette magnifique région entourée par le Rhin et la Forêt-Noire qui vous a accueilli, devient française en 1799. Puis, en 1806, la Confédération du Rhin, créée par Napoléon 1er à la suite de sa victoire à Austerlitz contre l’Autriche et la Russie, qui marque la fin du Saint-empire romain germanique, le Brisgau est rattaché au grand-duché de Bade. Est-ce ce dernier événement qui vous a décidé à venir vous installer en Alsace ?

Votre père ainsi que votre mère, Appolonie Walter, sont décédés lorsque vous vous mariez et vous déclarez ne plus avoir d’aïeuls. 
Votre fiancée, mon ancêtre, est Thérèse Wittmer ; elle est née à Colmar le 08 avril 1794 et est la fille de Michel, cordonnier, et de Thérèse Meder.


Moi qui trouvais Thérèse bien jeune pour se marier puisqu’elle n’a pas encore 20 ans, je suis un peu étonnée que votre mariage légitime deux garçonnets nés de vos œuvres… Elle me semble même encore juvénile lors de la naissance, le 11 novembre 1812, de Jean Joseph ! Les naissances vont se suivre à un rythme soutenu puisque Charles a vu le jour le 09 octobre 1813. Comme j’essaie de tout vérifier, j’ai recherché les actes de naissance des deux bambins. C’est vous qui avez fait la déclaration et vous en avez profité pour vous reconnaître le père des nouveau-nés. Je constate que votre futur beau-père, Michel Wittmer, est venu vous assister lors de la première déclaration… peut-être pour être sûr que vous alliez bien reconnaître l’enfant comme étant «né de vos œuvres » ? Dans cet acte de naissance, il y a un détail qui m’oblige à vous poser quelques questions. Dans votre acte de mariage, l’enfant est prénommé Jean Joseph alors que lors de sa naissance, il porte simplement le prénom de Joseph. A-t-il été baptisé un peu plus tard ? Et si oui, a-t-il reçu un baptême protestant ou catholique ? Je penche pour une cérémonie 
Rue des Serrurriers - Colmar
catholique, toujours sous couvert de baptême effectif, parce qu’il a été baptisé très jeune. En revanche, le petit Charles paraît n’avoir que ce seul prénom. J’aime bien la formulation « natif du pays badois » qui est utilisé sur son acte de naissance pour préciser votre lieu de naissance. Comme lors de votre mariage, vous habitiez rue des Serruriers. C’est dans cette rue que naît, le 08 février 1815, votre troisième fils, prénommé comme vous… peut-être parce que c’est votre premier fils légitime… une option louable mais alors, pourquoi avoir également prénommé le fils né le 15 mars 1816, Joseph Antoine ? Le premier serait-il décédé ? L’officier de l’état civil se serait-il trompé ? Il a bien noté que vous auriez été cordonnier…

Enfin une fille ! Et pas des moindres puisqu’il est question de Thérèse, mon ancêtre ! Elle est née le 1er  décembre 1817, à votre domicile, rue des Serruriers. Antoine Koëhler, tailleur d’habits, profession qui vous est rendue, est présent à vos côtés lorsque vous venez faire la déclaration de naissance. Monsieur Koëhler était-il votre ami ? Je pose cette nouvelle question parce qu’il apparaît de nombreuses fois dans les actes de naissance de vos enfants.

Que vous est-il arrivé ? Pourquoi – comme il est noté sur l’acte de naissance de Jean Baptiste – avez-vous présenté tardivement ce nouveau-né à la mairie ?  Il a vu le jour le 20 octobre 1819 et vous ne l’avez déclaré que le 24. Le trouviez-vous trop chétif ? Bon, peut-être étiez-vous simplement perturbé par votre déménagement ? Je suppose que votre nouveau logement est un peu plus grand parce qu’il faut reconnaître que votre union porte déjà de nombreux fruits. Je présume que vous n’emménagé pas très loin de votre ancien appartement puisque vous voici maintenant domicilié rue des Clefs, là où se situait l’ancienne abbaye de Pairis dont les bâtiments ont été confisqués pendant la Révolution et qui sont occupés, lors de votre déménagement, par la préfecture. J’espère que vous avez prévu grand car d’autres enfants vont rejoindre votre foyer. En fin de compte, le nourrisson décède le 25 février 1820. A-t-il été baptisé durant sa si courte vie ? Simplement prénommé Jean Baptiste lors de sa naissance, il est devenu Jean Baptiste Antoine lors de la déclaration de son décès.

 Mais la vie continue et Marie Rose, arrive à votre foyer le 13 janvier 1821. Un peu de répit pour votre épouse, la pauvre Thérèse Wittmer, parce que la naissance suivante ne se produit que trois ans après celle de Marie Rose… Je suis si étonnée que je suis obligée de penser que, peut-être, j’ai raté une ou deux naissances avant cette date du 28 mars 1824 où vous accueillez Marie Madeleine. Le 10 août 1825, ce sera le tour de Joséphine Henriette de venir agrandir la fratrie, elle sera suivie, le 31 juillet 1827 par Auguste Edouard,  puis par Amélie Catherine, née le 29 septembre 1828, sauf que je n’ai jamais trouvé son acte de naissance mais, heureusement, la date figure sur son acte de mariage. Les naissances se suivent toujours et, le 21 septembre 1829, arrive un autre garçon prénommé simplement Edouard, mais il n’atteindra pas deux mois et meurt le 05 mars 1831 ; aucun prénom supplémentaire ne figure sur son acte de décès et, à nouveau, c’est Antoine Koëhler qui vous assiste dans cette triste démarche.

Entre temps, une fille, Victorine Madeleine, a vu le jour, elle est née le 07 janvier 1831 ; Émile fait son entrée le 25 mars 1832 et comme l’alternance semble à la mode, c’est une fille qui se présente le 06 octobre 1834 ; elle est suivie par Alphonse qui voit le jour le 05 janvier 1837.

Ma liste est-elle complète ? Ais-je véritablement retrouvé tous vos enfants ? Vous souveniez-vous de ces deux petites vies éphémères ?

Votre petit Alphonse n’a pas deux ans que vous êtes déjà occupé à marier certains de vos enfants. C’est Marie Rose qui est la première à s'émanciper. Elle est pourtant bien jeunette lorsque le 09 mai 1838, vous l’autorisez à devenir Madame Nicolas Sarbacher ; votre futur gendre est boucher à Colmar. Le 14 juillet de la même année, c’est votre fils Charles, comme vous tailleur d’habits, qui se marie. Il épouse Barbe Caroline Colin qui est couturière et qui habite Colmar depuis son enfance. Nicolas Sarbacher, votre tout frais beau-fils, est l’un des témoins de cette union. Et puis, le 20 juillet suivant, vous allez voir Maître Mathieu, notaire à Colmar, pour qu’il dresse un acte autorisant le mariage de votre fils Joseph Antoine, également tailleur d’habits. Il faut dire qu’il semble s’être installé à Pontarlier, dans le Doubs, où, le 22 août suivant, il épouse Marie Anne Louise Pichaffret qui exerce le métier de blanchisseuse. Il est dit avoir 22 ans lors de son mariage, je pense donc qu’il s’agit du Jean Joseph né le 15 mars 1816, mais je n’ai retrouvé aucune trace de celui né le 08 février 1815. Qu’est-il venu faire dans le Doubs ? Pontarlier est bien loi de Colmar… mais, surprise ! Grâce au mariage de votre fils, j’ai pu faire la connaissance de votre beau-frère, Elie Wittmer, qui est âgé de 38 ans et est cordonnier à Pontarlier… Ce n’est donc pas vraiment un hasard si Joseph Antoine est allé s’installer si loin de vous… Bon, cette découverte ne fait que déplacer le problème : Pourquoi Elie Wittmer exerce-t-il à Pontarlier ? En revanche, je pense que vous n’avez pas très souvent revu votre fils car il me semble rester à Pontarlier où vont naître ses enfants et où, le 04 avril 1868, il va rendre l’âme. Encore une fois, des questions, dont je n’aurais jamais les réponses, viennent me perturber. Est-ce un hasard si l’un des témoins de son décès est un agent de police ? Pourquoi est-il décédé à l’hospice civil ? Était-il malade ? A-t-il été victime d’un accident ? Il n’avait que 52 ans… Ce qui vient renforcer mon sentiment que ce Joseph Antoine est bien celui né le 15 mars 1816 et pas celui né au début de l’année 1815… dont je n’ai toujours pas retrouvé la trace. En revanche, je suis également confortée dans mon idée que vous n’avez pas beaucoup revu votre fils et que, peut-être, n’avez même pas eu très souvent de ses nouvelles…

Acte reconstitué du mariage de Thérèse

Le 21 juillet 1840 est un autre grand jour pour votre famille puisque votre fille Thérèse, mon ancêtre, se marie. Pas de chance, c’est dans le 7e arrondissement de la capitale qu’est célébrée son union avec Edmé Antoine Auguste Neuhaüss et, les archives ont été détruites en mai 1871, lors de la Commune de Paris. La reconstitution de l’acte que j’ai pu consulter est assez lacunaire, mais je pense que vous avez donné votre consentement par acte notarié. Pourquoi est-elle « montée » à Paris ?

Marie Madeleine se marie à Colmar le 13 avril 1841 avec François Xavier Schmitt, orphelin de père, il habite avec sa mère, Jeanne Wentemer, depuis un an à Colmar où il exerce le métier de tonnelier. La lecture de l’acte de mariage de Marie Madeleine fait encore naître quelques questions. L’un des témoins est Auguste Neuhaüss, doreur sur bois, âgé de 27 ans, beau-frère de la mariée. On peut imaginer, qu’il soit venu de Paris – avec son épouse Thérèse -, pour assister au mariage… Le chemin est bien long et, sans doute, périlleux… J’ai vérifié, il s’avère qu’une gare a été mise en service à Colmar en 1840, mais par la compagnie des Chemins de fer de Strasbourg à Bâle… Je ne sais pas comment on pouvait se rendre à Paris par le train en 1841… Je pense qu’ils sont plutôt venus en voiture Dans l’acte de mariage en question, il est même dit qu’Auguste Neuhaüss habite à Colmar… J’ai du mal à le croire, car il y a de nombreuses décennies que les ancêtres d’Auguste vivent à Paris ou à Saint-Denis, en région parisienne.

Coup double ! En ce 20 février 1854, à Colmar, vous mariez Caroline et Victorine Madeleine. La première épouse Joseph Désiré Lambert, un tailleur d’habits né en 1825 à Artzenheim, qui habite Mulhouse et qui n’a plus ses parents pour l’assister en ce grand jour. Sa sœur épouse François Joseph Boussé, savonnier de son état, né en 1828 et habitant Colmar depuis un an. Les témoins de ces deux unions, sont les mêmes et, parmi eux, se trouve Léopold Schmitt, dessinateur de 40 ans et habitant à Mulhouse qui est le beau-frère des épouses, tout comme un deuxième témoin, Xavier Schmitt que je connais déjà puisqu’il est devenu votre gendre en 1841. J’ai trouvé un mari pour chacune de vos filles répertoriées par mes soins sauf pour… Joséphine Henriette… Un détail mérite d’être souligné : vous êtes toujours tailleurs d’habits, mais il est ajouté que vous êtes propriétaire. 
Voilà, j’ai trouvé le mariage de votre fille Joséphine Henriette qui a bien épousé, à Colmar, le 17 novembre 1842, Léopold Schmitt qui habitait depuis plusieurs années cette ville. En revanche, il ne semble pas y avoir de lien de parenté proche entre vos deux gendres portant le patronyme de Schmitt.

Laissons passer quelques années et retrouvons votre fils Émile. Il est devenu représentant de commerce et réside à Dugny, en Seine-Saint-Denis. Il vous a contacté pour vous faire part de son désir de convoler en justes noces avec la demoiselle Colombe Palmyre Combrun, elle est la fille de Pierre, qui est négociant. Elle est née et habite à Chantilly, dans l’Oise, où il est prévu que le mariage soit célébré. C’est un beau parti, vous n’avez aucune raison de vous y opposer alors, avec Thérèse, le 11 janvier 1858, vous vous rendez chez Maître Claudon, notaire à Mulhouse pour donner votre consentement à cette union. Mais, pourquoi avoir mandaté un notaire à Mulhouse ? Parce que, si l’on en croit le rédacteur de l’acte du mariage de votre fils Émile, vous habiteriez désormais, avec votre épouse, à Mulhouse… Puis-je réellement le croire ? Peut-être êtes-vous simplement allé rendre visite à vos filles, Caroline et Joséphine Henriette, qui ont sans doute suivi leurs époux dans cette ville parce qu’ils y avaient leurs activités économiques… Les chemins de fer se sont considérablement développés. Avez-vous pris goût aux voyages ? 
En tous les cas, presque au dernier moment, vous avez décidé d’assister au mariage de votre fils. Au cœur de l’hiver, le 08 février 1858, vous confirmez, de vive voix, votre consentement à l’union de votre fils, à Monsieur le maire de Chantilly. Et, ce n’est pas une erreur de rédaction, votre signature, immuable depuis toutes ces années, figure bien en bas de l’acte.


Thérèse n’a pas fait le déplacement. Je ne sais pas combien de temps vous avez passé avec votre fils et votre belle-fille avant de retourner, peut-être, à Mulhouse, en tous les cas, j'en suis certaine, à Colmar… Avez-vous profité de l’essor du chemin de fer pour aller jusqu’à Pontarlier, pour revoir votre fils Joseph Antoine ? J’en doute…

Le poids des ans commence à se faire sentir et, il est temps pour vous de quitter la terre. C’est le 31 mars 1862, à votre domicile situé 46 rue de l’Orme, un peu avant midi, que vous dites adieu à la vie. Xavier Schmitt, votre gendre, déclare votre décès à la mairie le même jour ; vous seriez devenu épicier.

Votre fille Thérèse s’éteint dans le 1er arrondissement parisien, en son domicile de la rue des Déchargeurs, le 1er avril  1865 après avoir exercer le très difficile métier de blanchisseuse. Thérèse n’était pas la seule de vos enfants à vivre à Paris. Amélie Catherine se marie le 06 juillet 1871 dans le 2e arrondissement. Ce n’est plus une jeune fille ; rien n’indique qu’elle ait été mariée avant de devenir Madame Guillaume Vaissières ; il est tailleur, elle est marchande tailleur. Ils habitent ensemble, 22 rue de la Banque et, surtout, ils légitiment Camille François, né le 29 octobre 1853 dans le premier arrondissement et déclaré à l’époque comme fils de Guillaume Veyssière Lamothe et de mère inconnue. Ce gendre, que peut-être vous avez connu, affirme que c’est par erreur que son patronyme a été écrit Veyssières, mais personne ne parle du complément Lamothe qui a été donné à Camille François. Votre veuve a donné son consentement au mariage par acte notarié dressé par un notaire de Colmar. L’un des témoins de l’union d’Amélie Catherine est Paul Neuhaüs, le fils aîné de la défunte Thérèse.

Comme c’est curieux, je ne peux que me poser encore et toujours des questions. Si je me borne à collecter les renseignements fournis par les actes de l’état civil, votre vie et celle des vôtres semblent relativement paisibles, juste rythmées par les naissances, les mariages et les décès. Pourtant, vos descendants parisiens ont vécu pendant la Commune de Paris. Quelles étaient alors leurs positions, leurs idées, leurs rôles ? Parce que, une fois de plus, l’histoire a été bousculée, et pas qu'à la capitale, et une guerre a frappé la région… jusqu’au traité de Francfort du 10 mai 1871, où le Haut-Rhin, à l’exception de Belfort, le Bas-Rhin et la Moselle sont devenus allemands. Les Alsaciens ont alors eu le choix entre prendre la nationalité allemande ou s’exiler, parler allemand va vite devenir obligatoire… Qu’auriez-vous fait ? Thérèse Wittmer, votre veuve, mon ancêtre, est restée à Colmar où elle est morte la veille du jour de Noël 1879 ; elle que j’imaginais affaiblie, voir usée par ses nombreuses grossesses – j’ai retrouvé 15 enfants, mais je ne suis pas sûre de tous les avoir répertoriés – a tout de même atteint l’âge plus que respectable de 85 ans. Son acte de décès, dressé en allemand, selon les règles allemandes, m’apporte un précieux renseignement : Thérèse Wittmer était de religion catholique... Je pense que cette précision me permet de conclure que vos enfants ont été baptisés selon les rites catholiques.

Je suis heureuse de cette rencontre. Je trouve que je m’en suis bien sortie, avec pleins de renseignements nouveaux qui vont me permettre de bien étoffer la branche Karrer de ma généalogie et qui m’ont donné l’envie d’approfondir la vie dans cette région.

Il faut que mon esprit regagne la terre au plus vite pour que je mette en forme toutes mes découvertes et que je me lance à la recherche de nouveaux éléments.

Catherine Livet
 

Ce texte a été rédigé dans le cadre du #RDVAncestral 

 

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Sources - bibliographie : 
  • Archives départementales du Haut-Rhin,
  • Archives départementales du Doubs,
  • Archives de Paris,
  • Archives muicipales de Saint-Denis en Seine-saint-Denis,
  • Chronologie des chemins de fer français.
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5 commentaires:

  1. Réponses
    1. C'est aussi ce que je me suis dit, surtout que je ne suis pas sûre d'avoir trouvé toutes les naissances. Merci Véronique pour ta lecture et ton commentaire.

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  2. Pas facile de devoir jongler avec des documents en langue allemande

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  3. Oui, j'ai un peu peur de ne pas pouvoir progresser. Pour l'instant, je suis un peu perdue. Merci pour votre lecture et votre commentaire

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  4. Une vie et une famille reconstituées pas à pas. Un rendez-vous promenade bien agréable. 👏

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Merci pour cette lecture.
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